…la nature s’introduit dans l’espace de « culture ».

Comme dans le champs du théâtre, nous proposons d’étendre les territoires au lieu de les séparer, de créer des connections et intensifier les relations. Afin de concevoir une école où le texte n’est pas le plus important, et d’accorder plus d’importance aux émotions, à l’énergie et aux relations. Nous voulons créer une école qui donne de l’importance à l’essence humaine. Ainsi les interactions entre l’extérieur et l’intérieur , entre les classes et les disciplines sont renforcées.
Des espaces variés sont créés, certains sont flexibles, dans un environnement organique, d’autres sont des lieux plus spécialisés avec des atmosphères bien définies. En ce sens, nous créons un environnement émotionnel pour une pédagogie plus active.

De plus, nous pensons que l’école, en tant que lieu de savoir et d’apprentissage devrait avoir un statu particulier. Ainsi la limite entre les espaces de l’école et l’extérieur est réelle, mais on peut la repensée, afin d’intensifier les connections. Ainsi, elle peut devenir une limite interactive, où différentes activités peuvent y être pratiquées, et où dans la dichotomie nature/culture de la philosophie occidentale, la nature s’introduit dans l’espace de « culture ».